Adagio
Sanctus Ignis (2001)
genre : neo classique
NNNN
NTS

Un casting de rêve ( David Readman, Richard Anderson...) emmené et dirigé par Stephan Forté, tel pourrait être le résumé de cet album. Mais cela serait trop réducteur face à une telle débauche de talent. Le virtuose français revisite le néo-classique en l’explorant par la face sombre et torturée, le rendant plus attirant et moins conventionnel. Une messe solenelle dite en 9 actes, emmenée par une base baroque indéniable et une instrumentation unique , où chaque protagoniste se surpasse, se complète pour enfin se combiner à merveille. Un premier effort remarquable, qui une fois de plus montre que la France recelle de groupe pouvant défier les plus grands. Adagio vient titiller Symphony X là ou on les croyait loin devant, avec un concept intelligent, une musique raffinée, surprenante, et très mélodique.

Geoffrey

 

LEGENDE :
N : fallait pas les inviter
NN : ils ont quand même été signés...
NNN : ça devient intéressant
NNNN : très bon
NNNNN : excellent, indispensable, inratable, une tuerie sans nom, un chef d'oeuvre...